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La pénurie mondiale d’eau : une propagande mondialiste

La catastrophe annoncée

Depuis quelques années, les chœurs de la propagande mondialiste préparent les esprits à une pénurie mondiale d’eau.

Les prédictions catastrophistes s’enchaînent afin que les peuples assimilent que « la pénurie en eau est la plus grande crise dont personne ne parle »  et que « ses conséquences prennent la forme d’insécurité alimentaire, de conflits, de migrations, et d’instabilité financière » (déclaration d’Andrew Steer, PDG du World Resources Institute).

Dans un rapport annuel de 2015, l’Organisation des Nations unies explique que « le monde devrait faire face à un déficit hydrique global de 40 % » dès 2030.

Quant à l’Organisation mondiale de la santé, elle prédit que « d’ici 2025, la moitié de la population mondiale vivra dans des zones de stress hydrique ».

Tout en nous indiquant que « la pénurie d’eau touche environ 40 % de la population mondiale »   les Nations unies et la Banque mondiale prédisent que « la sécheresse pourrait mettre jusqu’à 700 millions de personnes en danger de déplacement d’ici 2030 ».

En plus de ce déplacement de population, la pénurie nous mènera à la guerre puisque “s’il n’y a pas d’eau, les politiciens vont essayer de mettre la main dessus et ils pourraient commencer à se battre pour ça” [vii].

Ainsi, le World Resources Institute nous informe « que la violence liée à l’eau augmente au fil du temps”.

Dans un rapport de 2003 destiné au Pentagone, Peter Schwatz, « ancien responsable de prospective de la Royal Dutch Shell et consultant régulier de la CIA » (Galland, 2021, p.84), indique que suite aux « changements brusques dans le climat »  les confrontations militaires sont désormais  plus susceptibles « d’être déclenchées par un besoin désespéré des ressources naturelles comme l’énergie, la nourriture et l’eau, que par des conflits autour de l’idéologie, de la religion ou de l’honneur national ».

Les causes de cette pénurie (selon les mondialistes)

Pour les propagandistes mondialistes « la croissance démographique, l’urbanisation et le changement climatique font partie des facteurs qui augmentent la pénurie, par le manque d’eau ou la pollution des réserves existantes. »

Nous constatons que les instances mondialistes se gardent de bien d’évoquer le rôle de certains grands groupes industriels dans la pollution des nappes phréatiques et leur volonté de « privatiser l’eau » et de spéculer sur cette ressource .

Nous sommes donc priés de croire l’explication fournie par les mondialistes : “La croissance démographique et le développement économique entraînent une augmentation de la demande en eau dans le monde. Pendant ce temps, le changement climatique diminue l’approvisionnement en eau et/ou rend les précipitations de plus en plus irrégulières dans de nombreux endroits.

Parmi les endroits les plus à risques, l’Afrique figure en tête des « préoccupations » mondialistes, la « sécurité de l’eau » n’y étant pas assurée.

La sécurité de l’eau est définie par les Nations unies comme « la capacité d’une population à garantir un accès durable à des quantités suffisantes et à une eau de qualité acceptable pour soutenir les moyens de subsistance, le bien-être humain et le développement socioéconomique, afin d’assurer la protection contre la pollution d’origine hydrique et les catastrophes liées à l’eau, et pour préserver les écosystèmes dans un climat de paix et de stabilité politique ».

Les mondialistes s’inquiètent pour ce continent où « environ 230 millions d’Africains seront confrontés à une pénurie d’eau d’ici 2025 ».

Si les officines mondialistes attribuent cette insécurité de l’eau à la croissance démographique et au changement climatique, elles ne mentionnent que très rarement «la spéculation » qui s’est pourtant accentuée ces dernières années ; l’eau devenant même en décembre 2020, un actif financier à la Bourse de Chicago (Chicago Mercantile Exchange).

Une spéculation à grande échelle que seule l’oligarchie mondialiste peut organiser…