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L’OMS et ses standards dépravés pour l’éducation sexuelle en Europe. Histoire du Brésil, partie 10 : L’ère Vargas – l’Estado novo, entre les puissances de l’axe et les alliés (1937 – 1945) Quelle est la différence entre la droite et la gauche française ?  Histoire du Brésil, partie 9 : L’ère Vargas – entre le fascisme et le communisme (1930 – 1937) Histoire du Brésil, partie 8 : L’ère Vargas – la politique sociale (1930 – 1937) Histoire du Brésil, partie 7 : L’ère Vargas – un début mouvementé (1930 – 1937)

Novax Nocovid : Notre héros du mois de janvier

Pendant très longtemps j’ai admiré Roger Federer pour l’élégance de son tennis, son admirable toucher de balle, sa vista incomparable. Mais Novak Djokovic est venu le détrôner dans mon panthéon personnel.

L’Australie, bon élève covidiste

En 2022, lors de sa participation à l’Open d’Australie, Novak a été persécuté par les autorités du pays qui nageaient alors en plein délire covidiste.  Son visa a été annulé par un tribunal car il était susceptible “de représenter un risque sanitaire pour la communauté australienne“. Il faut dire que l’Australie était l’un des pays occidentaux où les mesures anti-covid étaient les plus draconiennes. Un confinement strict de  neuf (9) mois y a été appliqué, les déplacements étaient très encadrés et limités dans le temps et dans l’espace, l’obligation vaccinale s’imposait.

Or, Novak Djokovic fut l’un des seuls grands athlètes à se prononcer contre la vaccination. Sa résistance au diktat covidiste à l’inverse de ses comparses faisait de lui, une cible de choix pour les autorités, qui estimaient qu’il représentait un danger car il « encourageait le sentiment anti-vaccination“. Au diable la liberté vaccinale. Comment en vouloir à un sportif qui a d’abord voulu protéger sa santé plutôt que d’être un cobaye des laboratoires pharmaceutiques ?

Un champion ne cède jamais

Une année s’est écoulée et cette fois en 2023, l’athlète serbe a pu participer au tournoi australien. Il ne s’est pas contenté de faire de la figuration puisqu’il s’y est imposé pour la dixième (10e fois). Un record absolu portant son nombre de titres du grand chelem à vingt-deux (22). Quelle trempe, quel champion. Le gène rebelle semble transpirer dans toute la famille puisque son père a arboré un court instant, dans les tribunes, un drapeau russe. Un petit pied de nez au narratif officiel. On sait donc d’où Novak tient sa bravoure. Qu’il lui soit permis de poursuivre sa longue quête de titres. On lui souhaite un parcours similaire à l’US Open où il avait aussi été banni faute de vaccination!