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Dormez en paix braves gens, un génocide est en cours ! L’OMS et ses standards dépravés pour l’éducation sexuelle en Europe. Histoire du Brésil, partie 10 : L’ère Vargas – l’Estado novo, entre les puissances de l’axe et les alliés (1937 – 1945) Quelle est la différence entre la droite et la gauche française ?  Histoire du Brésil, partie 9 : L’ère Vargas – entre le fascisme et le communisme (1930 – 1937) Histoire du Brésil, partie 8 : L’ère Vargas – la politique sociale (1930 – 1937)

Clap de fin des trottinettes d’Anne Hidalgo

Anne Hildalgo n’a pas osé pousser la blague jusqu’à organiser un référendum le 1er avril portant sur l’utilisation des trottinettes en libre-service dans les rues de Paris. Dommage, nous aurions ri davantage. Elle qui nous a habitué à tant de coups d’éclat. Finalement le référendum fut organisé discrètement le 02 avril. Il s’agissait d’enterrer sans fleurs ni couronnes le service de trottinette en faisant mine d’y verser une onction démocratique. Autrefois, promues comme mobilité douce, les trottinettes se sont transformées en véritable cauchemar pour les piétons parisiens, qui devaient constamment être sur le qui-vive pour éviter d’être renversés. Il est vrai qu’Anne Hidalgo a décidé de rendre Paris infernal. Elle y arrive très bien. Les rats peuvent en attester. Les vélos roulant sur des pistes cyclables sans cohérence et manquant parfois de heurter les piétons sont l’autre coup de génie de Notre Drame de Paris.

L’Homo trottinitus

L’Homo trottinitus-comprendre l’Homme à trottinette- n’est rien d’autre qu’un épigone de l’Homo Festivus, un avatar de la modernité qu’avait très bien portraituré Philippe Muray. Imaginez un peu le spectable des trottinettes lors de la Bataille de la Marne lors la guerre de 1914/18. L’Homo trottinitus se rêve moderne et innovant (sic). Ces termes creux qui ne veulent rien dire mais qui révèlent que l’Homo trottinitus est déjà sorti de l’histoire. Il se réduit à son insignifiance et ses pauvres aventures.  Adulte, il ne peut plus l’être, il reste donc un éternel enfant. Les trottinettes ne sont-elles pas initialement l’apanage des enfants ?

Et si la municipalité rendait Paris à la France ?

En définitive, il faut toujours se méfier du vocabulaire progressiste qui a cette fâcheuse tendance à tout transformer en oxymore. La mobilité douce est en fait une mobilité folle. Attention, nous n’avons pas dit qu’Anne Hidalgo était folle. La preuve que non : elle a décidé d’ouvrir les yeux et d’arrêter la bêtise des trottinettes. Tout n’est donc pas perdu. On peut lui suggérer aussi de mettre fin  : au  trafic de drogue, au bétonnage de Paris, aux travaux incessants, bref d’arrêter d’emmerder les Parisiens et plus largement les franciliens qui, eux, n’ont rien demandé.